Le peintre malgache-russe Fofa Rabearivelo a 50 ans!

 

LE PEINTRE MALGACHE-RUSSE FOFA RABEARIVELO A 50 ANS! 

Igor Sid, Africana.ru, 15.09.2012
(См. русскую версию)

Aujourd'hui, le 15 septembre 2012, un ancien ami de la rédaction d'Africana.ru, le peintre malgache Christophe Jean-Michel Rabearivelo, plus connu dans les cercles artistiques de la Russie, du Madagascar et de la France comme "Fofa Rabearivelo", a 50 ans.

Fofa Rabearivelo est l'auteur fidèle à l'idée de la liaison créatrice des époques et les cultures éloignées. Dans ses travaux la archaïque se marie organiquement avec la modernité. La peinture de Rabearivelo est l'exemple de la synthèse garmonique des styles d'art, avec une certaine prédominance du réalisme magique.


"Antandroy".

La mondialisation comme "l'unification" est un mythe. Réellement, avec le procès de la confusion et l'unification culturelle, simultanément un procès inverse va dans le monde entier: la manifestation des particularités des régions nationales at ethniques. (L'un et l'autre s'appelle ensemble "la glocalisation".) Les mythes locaux deviennent les "brands", et l'intérêt des étrangers pour ces mythes grandit, grâce à la vision plus volumineuse des différences uniques de ces régions. Ce que se passe, j'appelle "la révolution mythopoétique", ou la révolution géopoétique (la géopoétique est chacun travail créatif avec les images géographiques).

Aucune politique! Je dis sur l'augmentation de la signification des mythes, ou, comme on dit maintenant, les BRANDS, y compris - les images touristiques géographiques (géopoétiques). Les mythes deviennent la marchandise la plus importante dans l'échange symbolique, et une principale ressource pour toute l'humanité.


"Omby".

Probablement, non tous connaissent que le peintre Fofa Rabearivelo c'est un des protagonistes de "la révolution mythopoétique" (la révolution géopoétique) du Madagascar. En travaillant en dehors du pays natal (c'est particulièrement important!), entre Saint-Pétersbourg, Moscou et Paris, il construit dans sa peinture le mythe moderne du Madagascar, le mythe fondé sur l'Archaïque malgache, mais insérant les images et les symboles de l'époque moderniste et postmoderniste.


"Le Souvenir".

Voici, sur le tableau "Le Souvenir" nous voyons une belle jeune fille se trouvant dans les jungles épais, où la fleur plus grande rappelle étonnamment l'évasement du grammophone. Ayant observé, nous comprenons que cela est le grammophone, réellement! Pourquoi la fleur s'est transformée en mécanisme musicale? Pourquoi il s'est trouvé dans les jungles? "Parce que nous sommes dans l'époque de la mondialisation"? Cette réponse n'est pas le seul...

La culturologue russe Ekaterina Dais affirme que ces phénomènes de la culture mondiale du XX-XXI siècle, que nous trouvions comme postmodernistes, sont en fait les manifestations secrètes de la tradition mystériale ancienne. (Selon E.Dais, la tradition mystériale, comprend toutes les doctrines ésotériques, les métiers magique et chamaniques, les ordres chevaleresques, l'alchimie etc.) Le réalisme magique avec l'élément du postmodernisme (mais peut être, le postmodernisme avec l'élément de la magie?), qui prédomine dans l'oeuvre de Fofa Rabearivelo, est un exemple du triomphe, du revanche de la traditions mystériale au milieu de l'époque des technologies informatiques. Si réfléchir, les technologies magiques ne contredisent pas contre tout les technologies informatiques. La preuve à celui-là est le boom immense des jeux virtuels avec les personnages mythologiques et avec l'arme magique, que est commencé au XXI siècle...

Ainsi, le héros de mon article Kristof Jean-Michel "Fofa Rabearivelo" est le vrai révolutionnaire mythopoétique. Ou, en d'autres termes, le révolutionnaire géopoétique du Madagascar.

Ces jours, le peintre qui habite les dernières vingt années à Saint-Pétersbourg, se trouve dans le voyage le long d'une Grande île natale. La rédaction du portail des projets africains Africana.ru souhaite au héros talentueux de la fête les nouvelles acquisitions créatrices, la santé, le bonheur et, certes, les nouveau acquisitions géopoétique et les nouveaux voyages!

Le rédacteur en chef d'Africana.ru
Igor Sid




Le vernissage de Fofa Rabearivelo dans le Centre d'information de l'ONU a Moscou. Avec le directeur du Centre d'information Alexandre Gorelik.


"Mozika".


"Nosy".


"Raleka".


"Diavolana Fenomanana".


Dans l'Ambassade du Madagascar à Moscou. Fofa Rabearivelo (à droite), l'ambassadeur du Madagascar en la Fédération de Russie Elois Maxime Dovo et les diplomates malgaches Monique Ratsimba et André Rasolo avec le tableau de Henry Room "La Reine Adelaida accepte les diplomates malgaches dans le château de Windsor en mars 1837"
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